À l'Échandole.
Un très beau concert de douceur, de bienveillance, malgré des textes plutôt sombres. Belle connivence entre ces six femmes, pour cette première fois avec cette formation. De quoi se dire que le monde n'est peut-être pas si mauvais...
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
À l'Échandole.
Un très beau concert de douceur, de bienveillance, malgré des textes plutôt sombres. Belle connivence entre ces six femmes, pour cette première fois avec cette formation. De quoi se dire que le monde n'est peut-être pas si mauvais...
De la Company Idem, à la Fête de la danse, Yverdon. Cette fois-ci un duo, inspiré de toute la gestuelle et sensualité qui nous ont manquées durant le confinement covidien. Heureusement, des retrouvailles à la fin. Publication originale.
De la Beaver Dam Company / Edouard Hue, à la Fête de la danse, Yverdon. Beaucoup de violence et d'acharnement dans ce solo. Nettement moins onirique et poétique que les autres pièces que j'ai vues de la compagnie. Publication originale.
De la Company Idem, à la Fête de la danse, Yverdon. Court solo traitant de la répétition du temps et du mouvement. Tout se rejoue, avec l'espoir de peut-être changer le résultat. Publication originale.
Du Patin Libre, à la Fête de la danse, Yverdon. Une troupe québécoise transpose le patin à glace artistique sur l'asphalte et les roulettes, en étant accompagnée par un violoncelle. Plein d'humour se joint à de sacrées performances. Publication originale.
De Giu Alfeo, à la Fête de la danse, Yverdon. Iel danse sur un longboard dans une cour d'école. Plein de légèreté, d'amusement, de prouesses. Un beau moment au soleil pour cette toute première de ce tout premier spectacle. Publication originale.
Du Collectif Detouteur, à la Fête de la danse, Yverdon.
Trois personnages veulent rentrer à la maison, et nous entraînent avec elles sur leur chemin. Beaucoup d'humour, des situations absurdes, une belle réussite.
De la Cie öff öff aerial dance, à la Fête de la danse, Yverdon. Mélange entre danseur·euses et circassien·nes, au milieu de grands et beaux arbres. Belles performances, souplesse incroyable, arbres magnifiques. Publication originale.
Du Théâtre de l'Extrême, à la Fête de la danse, Yverdon. Déambulation urbaine, avec une occupation de petits espaces étriqués. Je n'ai pas accroché. Publication originale.
De la Cie San.TooR, à la Fête de la danse Yverdon. Répétition et enchaînement des sons, des mouvements, des attitudes. Ce trio apporte une touche de fraîcheur au milieu du marché. Publication originale.
De la Cie XY, au Reflet. Une nouvelle murmuration de ces dix-neufs magnifiques étourneaux. L'impression d'être attiré vers le haut par eux est là, la voltige légère, le souffle coupé, les porteurs impressionnants. Sublime mélange de danse et de cirque. Publication originale.
De la Cie Julio Arozarena, au TBB. Un spectacle où les danseur·euses évoquent l'univers marin : les animaux, la pollution plastique, les migrants, les animaux pris au piège de la pollution, etc. Message un peu lourdement appuyé à mon goût. Publication originale.
De la Cie Kokodyniack, au TBB. Troisième volet de ce tryptique, orienté vers les pertes de mémoire, et la présence constante d'Aloïs (Alzheimer), cet ami encombrant mais accepté qui fait faire tant de bêtises et d'erreurs à Maryline. Publication originale.
De la Cie Marchepied, à l'Arsenic. Deux pièces courtes : une première où tout est mouvement, intensité, poids ; une deuxième où tout est porté vers le porté, les corps s'envolent, semblent d'une légèreté infinie. Publication originale.
De la CMI, à l'Échandole. La fête des Lentillères, un festival sans alcool (mais un marché noir s'organise malgré tout) où l'on découvre entre autres le reggaeton psychédélique de Sean Patrick. Publication originale.
De la Cie champloO, à Nebia. Une deuxième vision, quelques heures seulement après la précédente, simplement parce que j'aime bien l'équipe du projet et celle du théâtre. 😊
De la Cie champloO, à Nebia. Un danseur, une danseuse, un beat-boxer, et un banc accordéon. Tous·te s'influencent parmi, évoluent ensemble, dans une énergie et un style hip-hop. Publication originale.
Au Pommier. Après le faux documentaire, le vrai concert. Le trio du collectif Duncan nous présente son premier EP de compositions pop-rock. Une belle énergie, et amusant de les voir ainsi juste après ce faux "biopic" sur leur carrière. Publication originale.
Du collectif Duncan, au Pommier. Faux documentaire consacré à un trio de rock, débutant peu avant leur première tournée internationale. Mélange de théâtre, concert, vidéos, on s'attache aux protagonistes. Adaptation réussie d'un midi théâtre. Publication originale.
De Joshua Monten, au First Friday de Bienne. Nouvelle pièce de danse de rue de la compagnie, cette fois-ci un jeu avec de longues bandes de scotch. Toujours frais et drôle, avec un mélange de différents styles, et un final en voguing. Publication originale.