Du Turak Théâtre, au TKM.
Théâtre d'objets absurdo-poétique qui nous présente quelques cartes postales vivantes de la Turakie. Ce pays imaginaire nous enchante avec ses jeux de mots et ses tronches impayables. Ça donne envie d'aller le visiter.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
Du Turak Théâtre, au TKM.
Théâtre d'objets absurdo-poétique qui nous présente quelques cartes postales vivantes de la Turakie. Ce pays imaginaire nous enchante avec ses jeux de mots et ses tronches impayables. Ça donne envie d'aller le visiter.
À l'Échandole. Un quartet entre math-jazz et post-rock, avec un pianiste très expressif. Un trio basse guitare batterie entre Shoegaze, post-rock et post-hardcore. Rythmes superposés et qui montent en intensité. Belle découverte. Publication originale.
À Nebia Poche, dans le cadre du First Friday. Llimace chante en s'accompagnant d'un looper, d'une guitare, ou en utilisant son corps comme percussions. Parfois slam, parfois chansons, des textes beaux, doux, et drôles sur la non-binarité. Publication originale.
Au Nouveau-Monde, festival Textures. La douce musique de Sara accompagne les textes pleins d'humour d'Antoine. On y parle de retours de fast fashion, de soirées échangistes, de ne pas être content, et plein d'autres choses ! Publication originale.
De la Cie Bin°oculaire, au TBB. Deux êtres végétaux se rencontrent ; l'une danseuse, l'autre harpiste ; l'une plutôt extravertie, l'autre plutôt introvertie. La musique les fera se rapprocher. Très belles évocations des fleurs. Publication originale.
De la Cie Les Trois Petits Points, à l'Oriental. Jeanne Dark descend dans les abattoirs pour porter la bonne parole et sauver les pauvres. Qui de la religion ou du capitalisme est le plus pourri ? Bel effet choral des acteur·ices. Publication originale.
De la Cie Non Nova, à Vidy. Habillée en guerrière punk, Phia Ménard construit une maison en carton et scotch. Évocation du mythe de Sisyphe, d'Athéna, de la futilité des choses... Publication originale.
De la Cie L'oublié(e), à Équilibre. Les mots me manquent, tellement c'est beau ! Si Philippe Decouflé faisait du cirque, il s'appellerait Raphaëlle Boitel. Toute image est belle, toute séquence d'une précision cinématographique ! Sublime et poétique ! Publication originale.
De la Cie Frakt', à Nebia Poche. Elly écrit des lettres qu'elle n'enverra jamais, mais qui lui servent à clarifier ses envies et besoins de liberté. Beau texte, accompagné par une guitariste, vécu depuis un ilôt sur la scène. Publication originale.
Du Schauspielhaus Zürich Dance Ensemble, à Vidy. Début avec une ambiance de défilé de mode dégenré, puis les danseur·euses s'approprient chacun·e la musicalité du concert de Keith Jarrett. Belle transposition de la musique dans le mouvement. Publication originale.
De Nicolas Stemann, à Vidy. Le soleil nous parle de sa temporalité, et de l'opposition entre nature et humain. L'infini n'existe pas, et il est faux de croire que la nature est au service de l'humain. Long et peu digeste. Publication originale.
De la Cie la Bobêche, à l'Échandole. Joli spectacle de marionnettes sur la rencontre entre un balayeur des rues et un sans-abri. Saynètes sur la collaboration, l'acceptation, prendre le temps, ... Plein de poésie. Publication originale.
Du Quatuor Bocal, au théâtre de la Voirie. Le chœur d'hommes de Bottoflens vit ses derniers jours : seuls 4 membres sont là pour la 100ème soirée annuelle. Entre questionnement sur l'ouverture aux femmes et vaudoiseries, une soirée pleine d'humour. Publication originale.
De la Cie du Cachot, à l'Échandole. Mai 68 : entre les amphis des unis et les salons du ministère de l'intérieur. Conflit entre une fille rebelle et son père bon représentant du patriarcat. Les hymnes des CRS du commandant Pagnol étaient mémorables. Publication originale.
De la Cie Bilbao Théâtre, au 2.21. Une troupe de théâtre adapte Les Liaisons Dangereuses. La belle langue de Laclos se confronte au contexte moderne; la perfide Clara/Merteuil manipule les autres, menant chacun·e à sa perte. Beau jeu de tous·tes. Publication originale.
Au Passage. Cinq acrobates et un musicien dans un monde post-apocalyptique. Acrobaties diverses, une ondée leur permettra de prendre une douche rafraîchissante et humoristique. Très belle performance de bascule coréenne. Publication originale.
De la CMI, à La Grange, festival Rolande Léonard. L'after-movie d'une édition désastreuse du festival "À Sec !". Panne d'électricité et désertion des artistes en seront les faits d'armes mémorables. Publication originale.
D'Odile Cantero et Alain Borek, à La Grange, festival Rolande Léonard. Ambiances sonores (dialogues et musiques) d'une petite gare. On y croise diverses paires de personnes qui attendent ou non le train. Bienveillance et amour généralisés. Publication originale.
De Donatienne Amann et Yvan Richardet, à La Grange, festival Rolande Léonard. Iels partent du travail d'une microbiologue (étudiant des microcantilevers pour tester la résistance aux antibiotiques) afin de tester la viabilité d'une idée improvisée. Publication originale.
Au Temple d'Yverdon. Après plusieurs reports, voici enfin le concert de Christian Zehnder. Mélange de youtse, chant diphonique, synthétiseurs analogiques, accordéon, ... Plaisir de se laisser emporter à nouveau dans ses univers avec humour. Publication originale.