
De la Cie Cantamisù, à l'Échandole.
De petites poésies animalières joliment mises en scène et en musique dans un décor fleuri. Parfois, des marionnettes complètent le casting. De la peine à comprendre le lien entre ces différentes saynètes.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Cantamisù, à l'Échandole.
De petites poésies animalières joliment mises en scène et en musique dans un décor fleuri. Parfois, des marionnettes complètent le casting. De la peine à comprendre le lien entre ces différentes saynètes.
Du Cirque Barcode, à Beausobre. Réflexions sur les souvenirs et l'amnésie, enrobant des numéros d'acrobaties. Pléthore de beaux moments, de l'amitié, de la tension dramatique... Beau à pleurer. Publication originale.
De la Cie Wang Ramirez, à l'Octogone.
D'abord 2 soli : avec terre et tulle pour elle, Satyre et bâton pour lui. Puis des retrouvailles sur un duo littéralement renversant au-dessus de l'eau. Sublime, féerique. 🤩 Mention spéciale pour le vol du tulle.
À l'Échandole.
Plus de vingt ans plus tard, (re)découvrir un album des Young Gods composé spécialement pour l'Expo.02 à Yverdon. Ambiance chill et plantes vertes, dans un environnement nébuleux, pour cette soirée apéro after-work.
De la Cie Krassen Krastev, à l'Arsenic. Dans le noir, une musique monotone et pulsant, et trois barres de pole dance, illuminées de fins rayons de lumière. Trois danseur·euses tournent sur ces barres, créant ainsi des formes quasi abstraites. Publication originale.
De Pasquier / Rossier, au TBB. Un duo comédien et musicien qui nous transmet le magnifique texte d'un balayeur de rue poète. Réflexions sur les stigmates associés à ce travail, mais surtout toute la beauté qu'il y voit et rencontre. Publication originale.
Au TBB, organisé par l'Échandole.
Duo père & fils, guitare & violoncelle, complicité & tendresse, technique & virtuosité, flamenco & .... ah non, juste flamenco. Je n'aime pas ce style de danse, je n'ai pas aimé la musique seule.
De la Cie Frakt', à Rennweg 26. Quelques jours plus tard, revoir cette pièce dans une plus petite salle. L'intimité lui donne plus de force, la proximité permet de voir les détails des marionnettes, le plaisir est toujours grand !
De la Cie Alors voilà, à Nebia Poche. Deux comédiennes retranscrivent sur scène des témoignages sur la masturbation qu'elles ont récoltés de personnes très différentes. Plein d'humour et de légèreté sur un sujet étonnant et passionnant.
Par l'OCL, à la salle Métropole. Deux pièces courtes de Mozart, en petite formation (quartet et quintet) durant la pause de midi. Belle interprétation, mais il me manque clairement les codes pour comprendre et apprécier la musique classique.
De la Cie Frakt, au TBB. Basé sur un conte d'Andersen, ces marionnettes nous racontent avec douceur, humour, et tendresse l'importance de laisser libre ce(ux) qu'on aime et que vivre enfermé, même avec richesses, n'est pas une vie.
À Urgence Disk Records, festival La Teuf.
Concert en tout petit comité, où Fabian présente son électro-pop de punk de salon. Plaisir de (re)voir ce duo sur une scène, et un sentiment de cocooning et de bienveillance général avec l'intimité du lieu.
De la Cie Les Voyages Extraordinaires, au Petit Théâtre de Lausanne. Une adaptation pour jeune public de la BD de McCay. Beaucoup de machinerie, quelques beaux moments ; difficile d'adapter la liberté de la BD entre les quatre murs d'un théâtre.
Des PCGB, au TBB. Les Petits Chanteurs à la Gueule de Bois s'associent à Marc Donnet-Monay pour nous raconter avec humour et une pointe d'irrévérence l'histoire de la nativité. Une bonne tranche de rire. 😆
Du GIN, aux Citrons Masqués. Après quelques jeux d'impro, une longue impro à rebondissements, partie d'un premier rendez-vous amoureux à la Maison Blanche, et qui nous mène à des parties fines avec le président ou même sa mort selon le choix!
De la Cie Primo d'abord, au TBB. Deux hommes se rencontrent sur un banc et éclatement échangent à propos de leur vie et de leur carrière : comédien pour l'un, entrepreneur pour l'autre. Touchant, et émouvantes réflexions sur le sens de la vie.
Du BBL, au théâtre de Beaulieu. Ambiance de fin de règne et d'amours triangulaires impossibles dans cette reprise d'un ballet de 1982. Très classique dans les mouvements, quelques longueurs, et de belles images.
De la Cie Dog Production, au 2.21. Cinq comédien·ne·s nous récitent des extraits d'histoires d'amour tirées de textes littéraires modernes. En général, elles finissent mal.
De Martin Zimmermann, à Nebia. Quatre clowns macabres nous entraînent dans un univers de déchets et de déséquilibres. Tout bouge, tout tourne, tout chute... Magnifiques performances des quatre interprètes, malaisantes juste comme il faut.
Du Collectif Moitié Moitié Moitié, à l'Échandole. Ou les méfaits de la communication managériale bienveillante dans un décor IKEA... Plein de pensées et concepts bullshit pour montrer l'inanité des réunions créatives en entreprise.