De Coşkun Kenar, au Théâtre du Jura.
Un solo oscillant un peu entre arts martiaux japonais et breakdance, d'une incroyable précision technique. Malgré tout, je n'ai pas réussi à y entrer.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De Coşkun Kenar, au Théâtre du Jura.
Un solo oscillant un peu entre arts martiaux japonais et breakdance, d'une incroyable précision technique. Malgré tout, je n'ai pas réussi à y entrer.