La lévitation réelle

De L'Immédiat, au festival de la Cité. Nouvelle vision de ce spectacle. Car pourquoi se priver du plaisir de voir et revoir une telle perfection ? Ce spectacle restera probablement mon coup de cœur découverte de ce festival !

Try walking in my hooves

De Soya the Cow, au festival de la Cité. Déambulation en ville, menée par une vache activiste, en accordant une attention particulière aux animaux et aux plantes. Pistes de réflexion sur le véganisme et l'anti-spécisme. Belle perfo.

Bestiaire

De la Cie BAL, au festival de la Cité. Solo de danse inspiré des attitudes des animaux en cage. Tout y passe : canidé, félin, primate, phoque, coq, ... Il réussira quand même à s'échapper de sa cage à un moment. Réactions très vives du public, particulièrement les enfants.

Natures mortes

De la Cie Moost, au festival de la Cité. Nouveau lieu, nouvelle vue, nouvelles découvertes. Cette soirée de fin d'année d'un EMS me fait toujours autant rire, leurs performances sont toujours aussi justes. À voir et revoir !

Fighting

De Shaymaa Shoukry, au festival de la Cité. Duo de danse, où des mouvements de combats ou arts martiaux se transforment petit à petit en mouvements de clubbers ou d'amant·es. Mélange de styles et d'ambiances.

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Réflexions (principalement via une émission de radio) sur l'art de la corde lisse et ses représentations de genre, avec deux numéros : un « à l'ancienne » et un contemporain. Maîtrise époustouflante, réflexion bienvenue.

La lévitation réelle

De L'Immédiat, au Festival de la Cité. Une femme est en désaccord avec la force de la gravité et ne peut s'empêcher de s'envoler. Des passants essaient de la retenir... Un petit bijou circassien, tout en finesse et réalité, à consommer sans modération.

Retour à la Cerisaie

De la Cie ADVQ, à Vidy. Réinterprétation / réécriture de la pièce de Tchekhov. Plongée au plus proche des comédien·ne·s par le biais de casques audio. Je réessaie souvent, mais chaque fois la même conclusion : Tchekhov n'est pas ma tasse de thé.

Don't kill Duncan

À la Fête de la Musique de Lausanne. Trio rock, dont la vie fantasmée du groupe a déjà été présentée lors d'un Midi-Théâtre. À la fois sérieux et décalé, intello et prenant aux tripes.Ils méritent d'être revus dans un cadre plus adapté qu'un bord de route à la Fête de la Musique.

Knobil or not Knobil

À la Fête de la Musique de Lausanne. Louise Knobil (contrebasse, basse), accompagnée de cinq musiciens, présente ses chansons jazz. Belle exécution, belles compositions, mais un peu trop lounge pour correspondre à mes goûts.

Cod.Act : VonRollTwist V

À Plateforme 10. Un homme enchaîné par un réseau de cordes se débat pour se libérer. Chacun de ses mouvements déclenche des sons. Une métaphore incitant à se libérer de ses entraves ?

Daya Jones, Ride 88

À Plateforme 10. Solo de danse hip-hop, bien plus calme que le Collectif Ouinch Ouinch. Très belles chorégraphies, cherchant l'interaction avec le public.

Lingaland

De la Cie Linga, à Plateforme 10. Ou quand une troupe de danse contemporaine se frotte au chant lyrique tout en glissant dans des escaliers. Pas sûr d'avoir tout bien compris l'intention et l'intérêt.

Happy Hype

Du collectif Ouinch Ouinch, À Plateforme 10. Spectacle de danse très "dans ta face", piquant avec réussite à toutes les sauces et cassant les stéréotypes de genre au passage. Et ce plat est servi avec une énergie entraînant le public.

À l'échelle

De la Cie Moost, à Plateforme 10. Vu quatre fois en deux jours, ce spectacle m'a à chaque fois fortement touché. Iels ont sublimé l'architecture de ces nouveaux musées par leurs jeux et leur humour.

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