NO PANICATION

À Cirque au Sommet. Le public, couché directement sous le portique, observe les figures d'une trapéziste accompagnée d'un guitariste, tout ça au milieu d'un alpage. Le point de vue original augmente les sensations.

Francis sauve le monde

De la Cie Victor B., à la Plage des 6 Pompes. Adaptation de la BD "Francis blaireau farceur" pour trois comédien·nes et plein de peluches. L'humour corrosif de la BD est restitué à merveille. Un grand moment.

How to do things with words

De Joshua Monten, à La Plage des 6 Pompes. Nouvelle création de Joshua Monten, où trois danseur·euses dansent inspiré·es par des mots donnés dans l'ordre alphabétique. Comme à chaque fois, beaucoup de joie, d'humour, de plaisir.

Chez toi ou chez moi ?

De la Cie Les Malles, au Spot. L'histoire de Camille et Tony, voisins, artistes, mais que tout oppose. Pour lui, c'est le rock, pour elle l'opéra et la poésie. Magnifique manipulation de marionnettes que l'on croit vivantes.

Studio LesZarts de Vevey

Au parc Valency, dans le cadre des Garde Parties de Lausanne. Spectacle de danse urbaine, prenant pas mal d'inspiration dans le krump, et s'interrogeant sur l'aveuglement face à la violence tant qu'elle n'est pas virale dans nos téléphones.

Miss Margherita

De la Cie TITA8LOU, au parc Valency, dans le cadre des Garde Parties de Lausanne. Une pizzaïola fait tourner la pâte tout en racontant que ses déconvenues amoureuses l'ont amenée à améliorer sa recette. Final de chansons chantées à l'envers assez incroyable.

Kiki House of Phoenix

Au festival de la Cité. Plusieurs mini-événements dans une soirée : discussion sur la scène ballroom, workshop vogueing (je manque sérieusement de souplesse, mais c'était bien), démo par les membres de la Kiki House of Phoenix. Entraînant.

Ichi

Au festival de la Cité. Un one-man-band japono-britannique, faisant feu de tout bois pour les instruments (un ballon de gym ?!?). Drôle, plein d'énergie, délectable.

Natures mortes

De la Cie Moost, au festival de la Cité. Nouvelle visite à cet EMS pour circassiens, cette fois-ci en version goûter tout public. Joyeux, bon enfant, touchant.

bullet time

De Maya Masse, Louis Schild et Wrestler, au festival de la Cité. Du krump au ralenti... avec des sauts dans le temps façon chapitrage DVD, et tout ça sous un soleil tapant terriblement fort.

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Revoir encore et encore, mais cette fois-ci durant l'après-midi. Le texte ne change pas ("Bienvenue ce soir..."), seuls les feux d'artifice disparaissent. Toujours bien.

Kill your darlings

De Joshua Monten. Deux danseurs commencent un jeu de marelle qui contraint leurs mouvements dans ses cases. Évidemment, l'espace vient à manquer, ils se marchent l'un sur l'autre, et cela finit en une joussive bataille de craie.

Nerds

Au festival de la Cité. Quatre joueurs de fanfare, habillés selon l'image cliché des nerds, reprennent des morceaux des nineties en version brass band. Belle ambiance festive et nostalgique.

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Retour dans l'univers de Fragan Gehlker et Viivi Roiha, cette fois-ci en emmenant des amis. Leur duo contemporain à la corde lisse continue de m'impressionner. Force, précision, et majesté.

Résilience mon cul

De Joël Maillard, au festival de la Cité. Sorte de stand-up durant lequel Joël s'interroge sur l'intérêt de continuer à vivre face à l'urgence climatique. Je l'avoue, ma fatigue des jours précédents fait que je n'ai eu qu'une vision très partielle du spectacle.

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