Kiki House of Phoenix

Au festival de la Cité. Plusieurs mini-événements dans une soirée : discussion sur la scène ballroom, workshop vogueing (je manque sérieusement de souplesse, mais c'était bien), démo par les membres de la Kiki House of Phoenix. Entraînant.

Ichi

Au festival de la Cité. Un one-man-band japono-britannique, faisant feu de tout bois pour les instruments (un ballon de gym ?!?). Drôle, plein d'énergie, délectable.

bullet time

De Maya Masse, Louis Schild et Wrestler, au festival de la Cité. Du krump au ralenti... avec des sauts dans le temps façon chapitrage DVD, et tout ça sous un soleil tapant terriblement fort.

Kill your darlings

De Joshua Monten. Deux danseurs commencent un jeu de marelle qui contraint leurs mouvements dans ses cases. Évidemment, l'espace vient à manquer, ils se marchent l'un sur l'autre, et cela finit en une joussive bataille de craie.

Nerds

Au festival de la Cité. Quatre joueurs de fanfare, habillés selon l'image cliché des nerds, reprennent des morceaux des nineties en version brass band. Belle ambiance festive et nostalgique.

Résilience mon cul

De Joël Maillard, au festival de la Cité. Sorte de stand-up durant lequel Joël s'interroge sur l'intérêt de continuer à vivre face à l'urgence climatique. Je l'avoue, ma fatigue des jours précédents fait que je n'ai eu qu'une vision très partielle du spectacle.

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