
De la Cie Marchepied, à la Dérivée.
Quatre danseur·euses dans une pièce courte évoquant les flots de la rivière juste derrière elleux. Une belle performance très agréable.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Marchepied, à la Dérivée.
Quatre danseur·euses dans une pièce courte évoquant les flots de la rivière juste derrière elleux. Une belle performance très agréable.
De Gisèle Vienne, à Vidy. Deux êtres dans une voiture après une soirée parlent de leur traumatisme dû à un inceste. Lorsqu'iels sortent de la voiture, tout se passe au ralenti avec un troisième être qui apparaît et vient danser dans des ambiances lumineuses magnifiques. Bouleversant, époustouflant. Publication originale.
Du Collectif Delgado Fuchs, à l'Oriental. Enfermé dans une cabine, on regarde via un hublot des corps qui bougent. Perte de sens, de directions, de soi, on a l'impression d'être dans un sous-marin des grands fonds. Vraie réussite. Publication originale.
De Mandorle productions, à Vidy. Mélange entre chant lyrique et danses répétitives devant un grand Tumulus museau de chien. Peu convaincu Publication originale.
De Moira Lafosse et Neil Höhener, au Théâtre du Jura. Un duo pétillant, sentant les vacances, qui danse sans limites et dans quantité de tenues. Très rafraîchissant Publication originale.
De Coşkun Kenar, au Théâtre du Jura. Un solo oscillant un peu entre arts martiaux japonais et breakdance, d'une incroyable précision technique. Malgré tout, je n'ai pas réussi à y entrer. Publication originale.
De Lorena Stadelmann, au Théâtre du Jura. Une forme courte en solo mélangeant danse et chant, avec une ambiance limite angoissante. C'est beau, et les propositions artistiques de cette artiste continuent de me subjuguer. Publication originale.
De La Ribot et Dançando com a Diferença, à Vidy. Des danseur·euse·s handicapé·e·s qui sont heureux·ses d'être sûr scène et de présenter leur chorégraphie. Très beau et simple moment. Publication originale.
De la Cie Sam·Hester, festival Steps, à Nebia. Quelques belles images de groupe, beaucoup de lenteur dans les mouvements, peu de souvenirs qui me restent. Publication originale.
Du Collectif Ouinch Ouinch, à la Fête de la danse, Bienne. Des costumes qui changent et volent, dans danseur·euses plein·es de couleur et heureux·ses de s'exprimer par le mouvement, ... et une performance qui se termine par une invitation à tout le monde de les rejoindre. Une énergie et bonne humeur qui font du bien. Publication originale.
De Impellizzeri Dance Company, à la Fête de la danse, Bienne. Elle est vêtue tout en rose, avec un tapis rose sous le bras. Des mouvements répétitifs, alternant entre légèreté et effroi, mais toujours porteurs d'espoir. Publication originale.
De la Cie Synergie, à la Fête de la danse, Bienne. Deux danseurs de break, accompagnés par un guitariste. Les deux danseurs tournent continuellement autour de la scène, en parfaite symétrie. Une performance intense, tout en étant très poétique. Publication originale.
De la Cie Moost, à la Fête de la danse, Bienne. Performance pour deux danseurs, 17 palettes et une bouteille d'eau. Recherches d'équilibres, chutes à répétition, et toujours beaucoup d'humour. J'ai toujours beaucoup de plaisir à les revoir. Publication originale.
De la Cie 2.1, à la Fête de la danse, Bienne. Sur une musique de Laurie Anderson, deux personnes et deux bancs : chacun dans son monde, et peu d'interactions jusqu'à ce qu'iels se rentrent dedans. Une danse très technique, mais me transmettant peu d'émotions. Publication originale.
De la Cie Kane, à la Fête de la danse, Yverdon. Entre danse hip-hop et danse kanak, une performance cherchant à rassembler les gens autour d'un équivalent d'un arbre à palabres. Publication originale.
De la Cie Juste Ici, à la Fête de la danse, Yverdon. Il et elle se croisent sur un banc, on les suivra de cette première rencontre à leur première nuit tout en passant par le premier appel et le premier repas. Un joli spectacle joyeux de pantomime. Publication originale.
De la Cie Far From The Norm, festival Steps, à Nebia. Impressionnant ! Tout est extrêmement précis dans ce spectacle de danse hip-hop, chaque mouvement, chaque lumière. Beaucoup de violence, mais une prochaine performance qui nous laisse sans voix et essoufflés. Publication originale.
De la Cie Zahrbat, au Passage. Danse hip-hop, en groupes ou duos, avec des jeux de lumière mettant bien en évidence les danseurs. Malheureusement, je n'avais pas la tête assez libre pour me laisser emporter. Publication originale.
De la Cie Judith Desse, au 2.21. Ici, tout est noir gris ou blanc, même la peau des cinq danseur·euses. Iels nous montrent la lenteur de la vie dans un home. Une danse avec des réminiscences de butō et de Bausch. Publication originale.
De la Cie Marchepied, au First Friday. En tenue de foot, cinq danseur·euse·s courent dans tous les sens sur la place et interprètent des mouvements inspirés des cinq sens. Beaucoup de gesticulations, pour assez peu de légèreté. Publication originale.