
Soirée Humus & Wine, à la Chapelle de La Maladière.
Habitués aux concerts en salon, les voici dans une minuscule chapelle. Un concert de folk qui fait du bien, malgré que la plupart des chansons soient tristes, dans une ambiance très intime.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
Soirée Humus & Wine, à la Chapelle de La Maladière.
Habitués aux concerts en salon, les voici dans une minuscule chapelle. Un concert de folk qui fait du bien, malgré que la plupart des chansons soient tristes, dans une ambiance très intime.
Au centre de culture ABC. Trio chant / contrebasse, guitare, et batterie pour des chansons un peu étranges et flottantes. Publication originale.
Au festival Court-Circuit. Un concert plein de paillettes, de joie, et d'humour. Une légèreté de ton qui fait du bien, même si les thèmes évoqués ne sont pas tout rose. Publication originale.
Association Twin Arts, à l'Échandole. Violon alto et batterie avec ajouts électroniques, des morceaux inspirés des éléments, avec une scène uniquement éclairée par des images des mêmes éléments. Il n'y a plus qu'à se laisser emporter est profiter. Publication originale.
À Plateforme 10. Un super groupe féminin, oscillant entre musique planante et plus rock, pour nous faire évoluer dans un univers onirique. Un très beau moment, quoiqu'un peu court. Publication originale.
À Nebia. Iels ont joué les chansons 2, 3, 4, 5 (ah non, pas la 5), ... de leur deuxième album. Beaucoup de générosité dans ce concert aux textes poético-hallucinatoires. Publication originale.
À Nebia. Après l'expo, le concert. Fuzzy seul sur scène, accompagné de son alter ego en vidéo, nous interprète ses tubes entre rock et electro. Publication originale.
À l'Olympia. 3ème album, 3ème concert pour moi. Un show époustouflant, mêlant habilement anciens et nouveaux morceaux, des chorégraphies bien pensées, des morceaux puissants. Un concert habilement soutenu par la performance très forte de la percussionniste. Publication originale.
À l'Olympia. Un chanteur seul sur scène avec de gros beats électroniques comme base de ses morceaux. Dommage que la balance du son mettait fortement plus en avant les beats que sa voix, rendant ainsi les paroles incompréhensibles. Publication originale.
À l'Olympia. Des chants en persan sur de la musique électronique : une combinaison intéressante qui donne envie d'en découvrir plus que ces vingt minutes de concert. Publication originale.
À l'Échandole. Solo de guitare classique. Légère et approchant plein de genres. L'artiste se confie aussi un peu sur ses envies et idées qui l'ont amené à faire ces choix de morceaux. Publication originale.
De l'OCL & Yvan Richardet, au Métropole. Le narrateur mélange ses fiches et reconstitue une nouvelle histoire avec l'aide du public. L'aléatoire des fiches impose à l'orchestre également l'ordre des mouvements de l'œuvre L'amour sorcier. Une approche intéressante, pour un public trop dissipé. Publication originale.
À Sports 5. Le brass band hip-hop débarque avec une mini-tournée de vernissage de son premier album. Une ambiance très block party ce soir en plein air avec quelques guirlandes lumineuses. Un rap en trois langues nous faisant traverser diverses émotions plus ou moins liées à une rupture. Publication originale.
Au Singe. Basé principalement sur les morceaux de ses deux derniers albums (consacrés à des musiques de film), le trompettiste et son quintet nous emmènent dans son univers avec également quelques-uns de ses vieux morceaux. Un très beau concert. Publication originale.
À Ébullition. Extrêmement content de pouvoir assister une nouvelle fois à ce magnifique concert d'Emilie Zoé "augmenté" par la présence de Sara Oswald et son violoncelle. Avec cette fois-ci en plus un chœur d'ami·es pour les accompagner sur Tiger Song. Grand moment de musique. Publication originale.
À Ébullition. Accompagnée d'un batteur, elle interprète des chansons en français ou chaldéen, explorant ses racines. Parfois submergée par son émotion, elle nous a offert un beau concert. Publication originale.
De Phanee de Pool, à Nebia. Accompagnée par le Pocket Symphonik, Phanee de Pool nous présente les titres de son troisième album dans un gros show bien roulé. Avec le petit surplus d'émotion de jouer quasi à la maison cette fois-ci. Publication originale.
Des PCGB et Catherine d'Œx, au Bilboquet. Alice s'endort lors de sa fête d'anniversaire et de réveille des années plus tard chez trois petits cochons pervers. Chansons grivoises sur mélodies connues, pour un moment bien con. Publication originale.
À Estavayer-le-Lac. Un quatuor féminin de très belles voix jurassiennes qui interprète des chansons de Noël et des gospels dans la rue. Une énergie souriante et partagée qui fait du bien. Publication originale.
De Louis Jucker, à Vidy. Louis Jucker construit des machins qui font des bruits, les range dans des valises, et invite ses amis du Nouvel Ensemble Contemporain (NEC) pour jouer avec lui les morceaux qu'il a composé avec tous ces trucs. Une espèce de folk électro doux qui nous emmène dans un bel univers. Publication originale.