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bullet time

De Maya Masse, Louis Schild et Wrestler, au festival de la Cité. Du krump au ralenti... avec des sauts dans le temps façon chapitrage DVD, et tout ça sous un soleil tapant terriblement fort.

Kill your darlings

De Joshua Monten. Deux danseurs commencent un jeu de marelle qui contraint leurs mouvements dans ses cases. Évidemment, l'espace vient à manquer, ils se marchent l'un sur l'autre, et cela finit en une joussive bataille de craie.

Nerds

Au festival de la Cité. Quatre joueurs de fanfare, habillés selon l'image cliché des nerds, reprennent des morceaux des nineties en version brass band. Belle ambiance festive et nostalgique.

Résilience mon cul

De Joël Maillard, au festival de la Cité. Sorte de stand-up durant lequel Joël s'interroge sur l'intérêt de continuer à vivre face à l'urgence climatique. Je l'avoue, ma fatigue des jours précédents fait que je n'ai eu qu'une vision très partielle du spectacle.

Bestiaire

De la Cie BAL, au festival de la Cité. Solo de danse inspiré des attitudes des animaux en cage. Tout y passe : canidé, félin, primate, phoque, coq, ... Il réussira quand même à s'échapper de sa cage à un moment. Réactions très vives du public, particulièrement les enfants.

Natures mortes

De la Cie Moost, au festival de la Cité. Nouveau lieu, nouvelle vue, nouvelles découvertes. Cette soirée de fin d'année d'un EMS me fait toujours autant rire, leurs performances sont toujours aussi justes. À voir et revoir !

Fighting

De Shaymaa Shoukry, au festival de la Cité. Duo de danse, où des mouvements de combats ou arts martiaux se transforment petit à petit en mouvements de clubbers ou d'amant·es. Mélange de styles et d'ambiances.

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Réflexions (principalement via une émission de radio) sur l'art de la corde lisse et ses représentations de genre, avec deux numéros : un « à l'ancienne » et un contemporain. Maîtrise époustouflante, réflexion bienvenue.

Retour à la Cerisaie

De la Cie ADVQ, à Vidy. Réinterprétation / réécriture de la pièce de Tchekhov. Plongée au plus proche des comédien·ne·s par le biais de casques audio. Je réessaie souvent, mais chaque fois la même conclusion : Tchekhov n'est pas ma tasse de thé.

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